Décrivez physiquement votre personnage. (Me décrire ? Comment le faire sans paraître narcissique ? Demander donc à mes élèves ou à mes amis. Ils seront mieux vous répondre que moi. Je vois que vous insistez. Pour commencer, je suis un homme. Je suppose que vous vous en étiez aperçut mais autant le préciser. Je suis plutôt grand, blond aux yeux bleus. Il paraitrait que je porte plutôt bien mon prénom. En général c’est plutôt des compliments que je reçois lorsqu’on parle de mon physique. Je passe pour l’homme vraiment masculin avec tout ce qui va avec, sans me vanter, quoi que … Soyons sérieux une minute. Je n’ai pas de signe particulier si ce n’est que je porte une bague à la main gauche, c’est ma mère qui me l’a offerte. Je ne la quitte jamais. Je porte également de temps en temps un pendentif que j’aime beaucoup. Un autre cadeau de ma mère. Que dire de plus ? Si ce n’est que mon physique me convient et que je ne suis pas mécontent d’être ainsi. )

Décrivez mentalement votre personnage. (Mentalement c’est plus simple. Enfin plus simple si on veut. Je suis comme qui dirais un homme un vrai. A premier vu on me prend toujours pour le macho de service. Il est vrai que je laisse parfois cette impression, j’ai toujours envie de tout contrôler. Je n’aime pas vraiment être aidé, surtout par une femme. Au final lorsqu’on me connaît bien on s’aperçoit vite que je ne suis pas si macho que ça. J’ai juste un sens de l’honneur très fort, et une très grande fierté. Je ne suis pas un lâche. Je suis rancunier, jaloux en amour, je peux me montrer super romantique quand je le veux mais je mets du temps avant de l’être car ne montre pas tout de suite mes sentiments. Je suis quelqu’un de fidèle autant en amitié qu’en amour. Je ne trahirais jamais un ami sauf si j’ai une bonne raison de le faire. On a parfois du mal à me cerner. En tant que professeur, je suis exigeant mais sait plaisanter et mettre de côté certains détails. Je suis quelqu’un qui ne lâche pas facilement ses idées, et qui mets tout en ouvre pour arriver à mes fins. Je ne parle jamais de mon père. Ce qui fait que peu de monde sait pourquoi j’évite toujours d’aborder le sujet. Je reste quelqu’un d’attaché à ma famille même si je n’ai plus que ma mère et mes grands-parents que j’ai revu récemment. Intérieurement l’image de mon père n’est jamais partie. Tout le monde à sa part de souffrance, la mienne c’est ça et je la garder enfoui. Peut-être qu’un jour quelqu’un parviendra à faire sorti ce côté de moi que personne n’imagine. )

Une histoire ? Il y a tellement de choses à dire dans une vie que tout vous dire en 10 lignes ne serait pas assez. Je suis né exactement le 11 octobre 1951. Je n’ai ni frère, ni sœur. Mes parents ne souhaitaient pas avoir d’autres enfants. Je fus donc fils unique mais ça avait son avantage puisque je n’ai jamais manqué de rien à part d’une seule chose. Un père. Il était souvent absent à cause de son travail. Une fonction importante disait-il. J’ai toujours ignoré de quoi il s’agissait. Je l’ai imaginé dans toutes les professions possibles. Ma mère quant à elle était ma plus grande amie. Je n’avais qu’elle. Je n’ai plus qu’elle. Elle a toujours été tendre et gentille avec moi. Elle me lisait des histoires le soir avant de m’endormir quand j’étais enfant. Je me souviens de chaque moment passer avec elle. Je n’ai jamais douté de l’amour qu’ils se portaient l’un à l’autre, ni de celui que ma mère avait pour moi mais plutôt de celui de mon père. Il a toujours été un homme mystérieux. J’ai grandi dans la maison familiale à Londres. Cependant je suis né en Irlande. Ma famille a déménagé rapidement de L’Irlande après un conflit avec mes grands-parents. Je n’ai jamais vu l’Irlande, du moins quand j’étais enfant. J’étais un petit garçon rebelle et aventurier. J’étais aussi casse-cou, toutes les bêtises que je pouvais faire je le faisais. Ma mère me grondait mais sans vraiment m’en vouloir.Il y avait cependant certaines chose d’étrange autour de moi. Des objets que j’arrivais a faire parvenir jusqu’à moi , des choses qui explosaient quand j’étais en colère. C’était très étrange et jusqu’à ce que je recoive ma lettre pour Poudlard je pensais que c’était dans ma tête. J’ai reçus ma lettre pour Poudlard lors de mes onze ans. Ainsi je me suis rendu compte que ce n’étais pas dans ma tête. J’ai ainsi appris que j’étais sorciers, et que visiblement mes grands-parents aussi l’avaient été du moins l’un d’entre eux. Ma mère me raconta la raison de notre départ d’Irlande. Mon père ne supportait pas le fait qu’ils soient sorciers. Je me suis vite rendu compte qu’il finirait par me détester. Je ne m’étais pas tromper. A Poudlard je fus envoyé à Gryffondor. Je me suis vite habituer au château, me suis vite fait des amis et j’adorais l’ambiance magique qu’il y régnait. Je me montrais doué en magie. Ma mère me manquait, souvent je lui écrivais. Jamais mon père ne m’a envoyé la moindre lettre. Son absence me faisait souffrir. Je lui en ai toujours voulu. Mes années à Poudlard ont été fabuleuses. Sauf peut-être ma dernière année ou je me rendais compte que c’était la fin et que j’allais devoir quitter le château pour entrer dans la vie active ce qui m’effrayait. J’avais cependant une idée du métier que je désirais faire mais ne voulant pas me donner de faux espoir me dit d’y repenser plus tard. Puis cette année-là, mon père eu un accident de voiture et décéda. La dernière fois que nous avions parlé, nous nous étions encore disputer. Je m’en voulu de ne pas avoir cherché à le comprendre de ne pas avoir cherché à m’entendre avec. J’ai mis plusieurs mois à me remettre, mais la vie devait continuer. Je ne perdais pas espoir quant à mon futur métier. Je me disais que peut être qu’un jour la place se libérerait. En attendant je faisais des petits boulots pour ne pas rester là a rien faire et je me disais que mon père n’aurait pas voulu que je ne fasse rien de ma vie. Puis le temps passa. Enfin l’année passée ma chance se présenta. Le poste de professeur était libre et j’envoyais un mot au directeur de Poudlard pour me proposer en tant que Professeur de défense contre les forces du mal. Une matière qui me tenait à cœur car elle avait un but. Elle en valait la peine. J’avais toujours été doué pour cette matière. Je m’étais pris à cœur pour la défense contre les forces du mal, ayant beaucoup entendu parler de la guerre qui avait ravagé le pays, et le monde je m’étais dit que je n’avais pas la moindre envie que cela se reproduise de quelque façon que ce soit dans le monde magique. De plus j’avais entendu aussi que les forces du mal étaient en train de s’agrandir et je m’étais fait une vrai raison, une force aussi pour devenir le meilleur, dans cette matière lorsque j’étais à Poudlard. Je ne pouvais pas laisser le mal s’emparer du monde magique, pas pour que cela détruise notre monde.Tout au long de mes études je fus ainsi l’un des meilleure dans ce cours, si ce n’est le meilleur. C’était vraiment devenu une préiorité. C’est ainsi que je fus nommé professeur, sans doute le plus jeune depuis longtemps. Je n’étais pas mécontent de retourner à Poudlard les choses avaient changé, le monde aussi mais la vie continuait. The Show Must Go on. (20 lignes minimum)